Dans le cadre de la première édition de notre événement SOUS-KULTURS au Belvédère à Namur, nous avons interviewé Hijacker. Le DJ et producteur drum & bass émergent de 28 ans nous parle de son parcours et de sa musique au sein de la structure Exert Records & Agency.
Interview
Quelles sont tes principales influences ?
Je dirais que dans le domaine de la drum & bass, je pense à A.M.C., Kanine, mais j’aime aussi la dubstep, donc j’aime beaucoup Svdden Death et son projet Voyd. Et Crankdat, sa présence sur les réseaux sociaux, la façon dont il gère et promeut les choses, c’est une grande source d’inspiration pour moi.
Quels sont tes souhaits pour l’avenir du projet Hijacker ?
J’espère simplement pouvoir continuer à faire ce que je fais. Continuer à avoir de nouvelles opportunités et rencontrer de nouvelles personnes. Je pense que c’est très important de rencontrer de nouvelles personnes. Il faut continuer à s’amuser, à grandir et à aller de plus en plus loin.
Lequel de tes morceaux a été le plus difficile à réaliser et pourquoi ?
Je dirais peut-être le projet Hyperdrive, parce que c’était en fait l’un des premiers morceaux dans mon nouveau style. J’utilisais donc beaucoup de nouvelles techniques. Ce n’est pas vraiment le morceau le plus difficile à faire. C’est venu très vite, mais j’ai dû utiliser toutes les nouvelles techniques pour mon nouveau son.
Avec quel artiste rêverais-tu de collaborer ?
Définitivement Kanine, j’aime vraiment son son. J’aime aussi beaucoup Sota. Et pour une collaboration de rêve, genre vraiment rêvée, je dirais A.M.C.. On peut toujours rêver.
Quelle est pour toi la clé secrète d’un bon morceau de drum & bass ?
Je ne crois pas vraiment qu’il y ait une clé secrète, mais je dirais une grande énergie, de bonnes mélodies, une belle intro et un beau thème. Je pense que ce sont les choses les plus importantes.
Comment as-tu découvert la drum and bass et qu’est-ce qui t’a décidé à produire ce style ?
Je pense, comme la plupart des jeunes, via la chaîne UKF. À l’époque, je faisais du skateboard et beaucoup de mes amis écoutaient de la drum & bass. Et je suis allé à mes premières soirées. C’est ce qui m’a inspiré.
Que signifie pour toi le nom de ton projet « Hijacker » ?
Je cherchais quelque chose qui ressemblait à une capture. Dans le sens d’une capture d’un lieu, d’une capture de l’esprit des gens, d’un voyage, et c’est en gros ce à quoi je pensais.
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Crédits d’image: Timothy Gillion.
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