Le 27 janvier prochain, aura lieu la onzième édition de la Tekn’Bass au Palais des Congrès de Liège. Nouvelle année, nouvelle dizaine pour l’organisation, nouvelle ère. Une affiche exceptionnelle remplie d’exclusivités qui font rêver.
Un nouveau monde
L’organisation présente son « nouveau monde ». Et en effet, après une dixième édition en version XXL, retour aux sources avec la qualité en ligne de mire. Toujours en partenariat avec Aku Soundsystem pour une installation sonore hors norme tout aussi qualitative qu’imposante. C’est en effet 100KW de son qui va être posé sur le sol du Palais des Congrès de Liège pour faire tourner des basses d’anthologies. Comme on vous l’expliquait dans un précédent article, c’est vraiment la qualité du soundsystem qui fait la grande différence de Tekn’Bass. Mais pas que…
Une programmation exceptionnelle
On peut dire deux choses sur cette programmation. Comme à leur habitude, elle est très qualitative, mais pour cette édition, elle est également exceptionnelle. Car on retrouve dans les têtes d’affiche trois artistes ou duos qui se produisent pour la première fois en Belgique. Une sacrée exclusivité qui attire la curiosité et l’engouement. On pourra donc y retrouver Karah et H! Dude. Pour la première fois en Belgique, le tout nouveau projet nommé Silence., la nouvelle alliance de Sköne et Protokseed se produira. Mais ce n’est pas tout, Neurotribe et Kokko forment également un nouveau projet intitulé Diprosopiks. Et Lokomotek présentera son nouvel alias Loko. Avec toutes ses nouveautés, on retrouvera également l’excellent Le Bard en concert live, mais aussi Delche B2B Sacrée Sauvage. Et vous, qu’est-ce qui vous donne le plus envie ?
Qu’est-ce que vous attendez ?
Pour nous, c’est un grand oui ! L’équipe 7kulturs sera présente pour découvrir cet événement de folie. Retrouvez toutes les informations et tickets via leurs réseaux. Ne traînez pas, car nous sommes déjà bientôt à la dernière vague de tickets.
Les photographies de l’article ont été capturées par le talentueux Arthur Ranzy.
Crédits d’image: Arthur Ranzy.