Le mythique club Printworks London annonce sa dernière saison après avoir annoncé sa fermeture il y a quelques mois. Et quel final !
Une fermeture pour laisser place à des bureaux
En août dernier, on apprenait la future fermeture du club londonien pour faire place à des bureaux… On ne sait pas encore à l’heure actuelle si un nouveau club ouvrira à nouveau ses portes. Une chose est sûre, il va être compliqué de le rendre aussi atypique. En effet, si vous n’avez jamais entendu parler du Printworks, il faut savoir que comme son nom l’indique, il prend place dans une ancienne imprimerie dans le sud de la ville de Londres. Il est situé dans l’ancienne imprimerie de Harmsworth Quays, qui imprimait des journaux comme le Daily Mail et l’Evening Standard jusqu’en 2012. Pour ensuite devenir un véritable lieu culte de la musique électronique. Grâce à son agencement en longueur, une atmosphère très unique s’y dégage. Le tout pouvant accueillir jusqu’à 6000 personnes.
Une saison finale de folie
C’est hier, sur les réseaux sociaux que le club annonça sa dernière saison. Et quel final ! Ce n’est pas plus de 40 soirées qui auront lieu à partir du 03 février jusqu’à un dernier week-end final le 28 avril. Cela s’annonce grandiose. Vous pouvez découvrir toute la programmation sur le site du Printworks. On y retrouvera tous les styles de musique électronique.
Just announced: The Final Season.
— Printworks London (@Printworks_LDN) November 29, 2022
Full listings here: https://t.co/rVhzZNcS92
Track:
“Uendeligt” by @Slikback x #Malibu
Publisher: Copyright Control
Courtesy of @syncsmith pic.twitter.com/vQQ8BPTLjR
Attention que toutes les ventes de tickets fonctionneront par préventes. Les ventes commencent ce mercredi 30 novembre à partir de 11 heures (heure anglaise).
On notera la présence du « Let It Roll On Tour » le 10 février 2023 avec un line-up 100% Drum & Bass finement sélectionné. Camo & Krooked B2B Mejfus, Black Sun Empire, Monrroe & Duskee ou encore Critical Sound System seront de la partie.
Et vous, ça vous tenterait d’aller voir ce que ça donne là-bas ?
Crédits d’image: Jake Philip Davis.