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Pourquoi Flux Pavilion s’appelle Flux Pavilion?

Flux Pavilion - Joshua Steele

On continue la série de mini-articles “Artistes origines” avec un autre artiste anglais qui a également marqué l’histoire de la musique électronique, Flux Pavilion. Je vous ai également préparé une playlist Spotify et Deezer reprenant, selon moi, les 10 chansons originales les plus marquantes, intemporelles et intéressantes de la carrière de Flux Pavilion jusqu’à présent.

Flux Pavilion, de son vrai nom Joshua Steele, est un producteur, musicien et DJ emblématique de la popularisation du Dubstep. Spécifiquement de l’époque que certains appellent l’âge d’or du Dubstep au début des années 2010. C’est seulement une année après la fondation du label Circus Records créé avec Doctor P, que l’artiste explose avec son single légendaire, “I Can’t Stop”, et ensuite “Bass Cannon” en 2011 qui le propulse à un succès international.

Dans une interview de DJMag.com datant de 2015, l’artiste confie que le nom Flux Pavilion est un heureux accident. En effet, c’est le nom de son ancien groupe, groupe qui avait abandonné le nom après une journée d’utilisation. C’est seulement quelques années plus tard qu’il réalise que ça concorde plutôt bien avec son univers. Il réalise que le “flux” représente le flux ou taux d’énergie et qu’un pavilion est habituellement un lieu de divertissement.

“It wasn’t until years later that I realized ‘flux’ is the flow or rate of energy. A pavilion is classically a place where entertainment takes place. So ‘Flux Pavilion’ is the flow of energy in a place of entertainment. You could look at the name as fate, I guess. It’s just so succinct to my artist identity that unconsciously I had to use it.”

Joshua Steele – Flux Pavilion à DJMAG

C’était donc tellement succinct vis-à-vis de son identité artistique qu’il ne pouvait rêver mieux comme alchimie !


L’artiste vient d’ailleurs de sortir un nouvel album intitulé “.wav”, je vous le conseille vivement, c’est un voyage électronique qualitatif et inspirant ! On en parlera peut-être ici, qui sait…

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